F -Stufe 13 - Übung Nr. 1 - GreenButterSolutions

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F -Stufe 13 - Übung Nr. 1

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1. Le Jeu du Pendu
Centre d'intérêt:
les médias
Un petit jeu que tout le monde connaît, il consiste à deviner un mot.
Mais d'abord, répétez le vocabulaire centré sur un thème - les médias - pour réussir à cette épreuve.
Ensuite, jouez au jeu du pendu!


					
					

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Pour deviner le mot inconnu cliquez sur les lettres. Vous serez pendu à la 6ième erreur!

 





2. Les temps: Un conte de fée
Complétez le texte après avoir lu le conte de fée de Perrault.
Faites attention à l'accord et à la voix passive.
Si vous voulez, remplacez le passé simple par le passé composé.
C'est ici que vous trouvez la solution: http://clpav.fr/lecture-belle-bois-dormant.htm


La Belle Au Bois Dormant (deuxième partie)

La bonne vieille, bien embarrassée, (crier) au secours: on (venir) de tous côtés, on (jeter) de l'eau au visage de la princesse, on la (délacer), on lui (frapper) dans les mains, on lui (frotter) les tempes avec de l'eau de la reine de Hongrie; mais rien ne la (faire) revenir. Alors le roi, qui (monter) au bruit, (se souvenir) de la prédiction des fées, et jugeant bien qu'il (falloir) que cela (arriver), puisque les fées l' (dire), (faire) mettre la princesse dans le plus bel appartement du palais, sur un lit en broderie d'or et d'argent. On (dire) d'un ange, tant elle (être) belle; car son évanouissement (ne ... pas / ôter) les couleurs vives de son teint: ses joues (être) incarnates, et ses lèvres comme du corail; elle (avoir) seulement les yeux fermés, mais on l' (entendre) respirer doucement, ce qui (montrer) bien qu'elle n' (être) pas morte. Le roi (ordonner) qu'on la (laisser) dormir, jusqu'à ce que son heure de se réveiller (venir).

La bonne fée qui lui (sauver) la vie, en la condamnant à dormir cent ans, (être) dans le royaume de Mataquin, à douze mille lieues de là, lorsque l'accident (arriver) à la princesse; mais elle en (avertir) en un instant par un petit nain, qui (avoir) des bottes de sept lieues (c' (être) des bottes avec lesquelles on (faire) sept lieues d'une seule enjambée). La fée (partir) aussitôt, et on la (voir) au bout d'une heure arriver dans un chariot tout de feu, traîné par des dragons. Le roi lui (aller) présenter la main à la descente du chariot. Elle (approuver) tout ce qu'il (faire); mais comme elle (être) grandement prévoyante, elle (penser) que quand la princesse (venir) à se réveiller, elle (être) bien embarrassée toute seule dans ce vieux château.

Voici ce qu'elle (faire): elle (toucher) de sa baguette tout ce qui (être) dans ce château (hors le roi et la reine), gouvernantes, filles d'honneur, femmes de chambre, gentilshommes, officiers, maîtres d'hôtel, cuisiniers, marmitons, galopins, gardes, suisses, pages, valets de pied; elle (toucher) aussi tous les chevaux qui (être) dans les écuries, avec les palefreniers, les gros mâtins de basse-cour, et Pouffe, la petite chienne de la princesse, qui (être) auprès d'elle sur son lit. Dès qu'elle les (toucher), ils (s'endormir) tous, pour ne se réveiller qu'en même temps que leur maîtresse, afin d'être tout prêts à la servir quand elle en (avoir) besoin: les broches mêmes qui (être) au feu toutes pleines de perdrix et de faisans (s'endormir), et le feu aussi.

Tout cela (se faire) en un moment; les fées n' (être) pas longues à leur besogne. Alors le roi et la reine, après avoir embrassé leur chère enfant sans qu'elle (s'éveiller), (sortir) du château, et (faire) publier des défenses à qui que ce (être) d'en approcher. Ces défenses n' (être) pas nécessaires, car il (croire) dans un quart d'heure tout autour du parc une si grande quantité de grands arbres et de petits, de ronces et d'épines entrelacées les unes dans les autres, que bête ni homme n'y (pouvoir) passer: en sorte qu'on ne (voir) plus que le haut des tours du château, encore n' (être)-ce que de bien loin. On ne (douter) point que la fée (ne / faire / encore) là un tour de son métier, afin que la princesse, pendant qu'elle (dormir), n' (avoir) rien à craindre des curieux.

Au bout de cent ans, le fils du roi qui (régner) alors, et qui (être) d'une autre famille que la princesse endormie, étant allé à la chasse de ce côté-là, (demander) ce que c' (être) que ces tours qu'il (voir) au-dessus d'un grand bois fort épais; chacun lui (répondre) selon qu'il en (ouïr) parler. Les uns (dire) que c' (être) un vieux château où il (revenir) des esprits; les autres que tous les sorciers de la contrée y (faire) leur sabbat. La plus commune opinion (être) qu'un ogre y (demeurer), et que là il (emporter) tous les enfants qu'il (pouvoir) attraper, pour pouvoir les manger à son aise, et sans qu'on le (pouvoir) suivre, ayant seul le pouvoir de se faire un passage au travers du bois. Le Prince ne (savoir) qu'en croire, lorsqu'un vieux paysan (prendre) la parole, et lui (dire):
-''Mon prince, il y a plus de cinquante ans que j' (entendre) dire de mon père qu'il y (avoir) dans ce château une princesse, la plus belle du monde; qu'elle (devoir) y dormir cent ans, et qu'elle (réveiller) par le fils d'un roi, à qui elle (réserver).''

Le jeune prince à ce discours (se sentir) tout de feu; il (croire) sans hésiter qu'il (mettre) fin à une si belle aventure; et poussé par l'amour et par la gloire, il (résoudre) de voir sur-le-champ ce qu'il en (être). A peine (s'avancer)-t-il vers le bois, que tous ces grands arbres, ces ronces et ces épines (s'écarter) d'eux-mêmes pour le laisser passer: il (marcher) vers le château qu'il (voir) au bout d'une grande avenue où il (entrer), et ce qui le (surprendre) un peu, il (voir) que personne de ses gens ne l' (pouvoir) suivre, parce que les arbres (se rapprocher) dès qu'il (passer). Il (continuer) donc son chemin: un prince jeune et amoureux (être) toujours vaillant. Il (entrer) dans une grande avant-cour où tout ce qu'il (voir) d'abord (être) capable de le glacer de crainte: c' (être) un silence affreux, l'image de la mort (s'y présenter) partout, et ce n' (être) que des corps étendus d'hommes et d'animaux, qui (paraître) morts. Il (reconnaître) pourtant bien au nez bourgeonné et à la face vermeille des Suisses ils (ne ... que / endormir), et leurs tasses, où il y (avoir) encore quelques gouttes de vin, (montrer) assez qu'ils (s'endormir) en buvant. Il (passer) une grande cour pavée de marbre, il (monter) l'escalier, il (entrer) dans la salle des gardes qui (ranger) en haie, l'arme sur l'épaule, et ronflants de leur mieux. Il (traverser) plusieurs chambres pleines de gentilshommes et de dames, dormant tous, les uns debout, les autres assis; il (entrer) dans une chambre toute dorée, et il (voir) sur un lit, dont les rideaux (ouvrir) de tous côtés, le plus beau spectacle qu'il (jamais / voir): une princesse qui (paraître) avoir quinze ou seize ans, et dont l'éclat resplendissant (avoir) quelque chose de lumineux et de divin. Il (s'approcher) en tremblant et en admirant, et (se mettre) à genoux auprès d'elle.

Alors comme la fin de l'enchantement (venir), la princesse (s'éveiller); et le regardant avec des yeux plus tendres qu'une première vue ne (sembler) le permettre: ''Est-ce vous, mon prince? Lui (dire)-elle, vous (se faire / bien) attendre.'' Le prince, charmé de ces paroles, et plus encore de la manière dont elles (dire), ne (savoir) comment lui témoigner sa joie et sa reconnaissance; il l' (assurer) qu'il l' (aimer) plus que lui-même. Ses discours (ranger / mal), ils en (plaire) davantage: peu d'éloquence, beaucoup d'amour. Il (être) plus embarrassé qu'elle, et l'on ne (devoir) pas s'en étonner; elle (avoir) le temps de songer à ce qu'elle (avoir) à lui dire, car il y (avoir) apparence (l'histoire n'en (dire) pourtant rien) que la bonne fée, pendant un si long sommeil, lui (procurer) le plaisir des songes agréables. Enfin il y (avoir) quatre heures qu'ils (se parler), et ils (ne ... pas encore / dire) la moitié des choses qu'ils (avoir) à se dire.

(de: http://clpav.fr/lecture-belle-bois-dormant.htm)


3. Le pronom relatif
Employez le pronom relatif pour relier les deux phrases.

3.1. Élimar descend du car de Grenoble. Le car l'a amené ici.
3.2. De sa fenêtre, Élimar regarde la montagne. Elle s'élève devant lui.
3.3. II dit bonjour à Monique. Monique est en route vers la piste de ski.
3.4. II dit bonjour à Monique. II la connaît depuis très longtemps.
3.5. II aime beaucoup sa tante Mireille. Elle l'a invité à Seyne-les-Alpes.
3.6. La neige est idéale. Elle attend les skieurs.
3.7. Les camarades sont allés à la piste de ski. Élimar les cherche à la patinoire.
3.8. Maman a mis à ma disposition une somme assez rondelette. Je suis allé la dépenser place de la Sorbonne.
3.9.

Le soleil de septembre brille sur les vignobles de la Côte d'Or. Ils s'étendent à l'infini.

3.10. Un accident est arrivé dans la plantation. Pierre est le propriétaire de la plantation.
3.11. Le jeune homme reste immobile en face du reptile. II entend tinter les anneaux du reptile.
3.12. Pierre accourt et sauve le garçon. II voit la situation dangereuse du garçon.
3.13. Il tue le serpent. La tête du serpent est levée.
3.14. Mireille se lève. Le visage de Mireille est pale.
3.15. II tend la main de Mireille. Le courage de Mireille l'a sauvé.
3.16. Pierre invite Mireille. II admire le courage de Mireille.
 
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