F -Abitur - Übung Nr. 3 - GreenButterSolutions

Direkt zum Seiteninhalt

Hauptmenü:

F -Abitur - Übung Nr. 3

FRANZÖSISCH > ÜBUNGEN > Abitur
 


1. Le Jeu du Pendu
Centre d'intérêt:
la ville
Un petit jeu que tout le monde connaît, il consiste à deviner un mot.
Mais d'abord, répétez le vocabulaire centré sur un thème - la ville
- pour réussir à cette épreuve.
Ensuite, jouez au jeu du pendu!


					
					

choisir un mot nouveau


caractères joués


Pour deviner le mot inconnu cliquez sur les lettres. Vous serez pendu à la 6ième erreur!

 





2. Le discours rapporté.
Transposez les phrases suivantes au discours indirect en faisant les changements nécessaires.

2.1. Il dit: «Je suis fatigué.»
2.2. Dites-moi: «Que souhaitez-vous?»
2.3. Marc disait: «J'ai eu de la chance.»
2.4. Maurice a promis: «Je viens aujourd' hui.»
2.5. J'ai dit à Marthes: «Tu dors trop longtemps.»
2.6. Il craint: «Marcel ne vient pas à l'heure.»
2.7. Luc a dit: «J'ai bu un jus de fruits.»
2.8. Luc demande à Marc: «Combien de fautes as-tu faites dans la dictée?»
2.9. Le contrôleur demanda à ma sœur: «À quelle station descendrez-vous?»
2.10. L’instituteur a voulu savoir: «Quand Napoléon est-il né ?»
2.11. Luc a repliqué: «J'irai en Italie pendant les vacances.»
2.12. Ma mère raconte: «Je craignais que tu puisses te faire mal.»
2.13. Ma femme m'a demandé: «Tu pars demain pour Metz?»
2.14. Luc disait: «Elle ira au cinéma.»
2.15. Le médecin dit: «Je t'aide.»


3. Les temps
Complétez l'extrait d'Alphonse Daudet.
Mettez le passé simple là où il faut. N'oubliez pas le subjonctif et le passif.


Ce (être) les lapins qui (étonner) !... Depuis si longtemps qu'ils (voir) la porte du moulin fermée, les murs et la plate-forme envahis par les herbes, ils (finir)   par croire que la race des meuniers (éteindre) , et, trouvant la place bonne, ils en (faire)   quelque chose comme un quartier général, un centre d'opérations stratégiques: le moulin de Jemmapes des lapins... La nuit de mon arrivée, il y en (avoir)   bien, sans mentir, une vingtaine assis en rond sur la plate­forme, en train de se chauffer les pattes à un rayon de lune... Le temps d'entrouvrir une lucarne, frrt! voilà le bivouac en déroute, et tous ces petits derrières blancs qui (détaler)  , la queue en l'air, dans le fourré. J'espère bien qu'ils (revenir) .

Quelqu'un de très étonné aussi, en me voyant, c'est le locataire du premier, un vieux hibou sinistre, à tête de penseur, qui (habiter) le moulin depuis plus de vingt ans. Je l' (trouver) dans la chambre du haut, immobile et droit sur l'arbre de couche, au milieu des plâtras, des tuiles tombées. Il m' (regarder) un moment avec son œil rond; puis, tout effaré de ne pas me reconnaître, il (se mettre) à faire: « Hou! hou!» et à secouer péniblement ses ailes grises de poussière; - ces diables de penseurs! ça (ne jamais se brosser) ... N'importe! tel qu'il est, avec ses yeux clignotants et sa mine renfrognée, ce locataire silencieux me (plaire) encore mieux qu'un autre, et je (s'empresser) de lui renouveler son bail. Il (garde) comme dans le passé tout le haut du moulin avec une entrée par le toit; moi je (se réserver) la pièce du bas, une petite pièce blanchie à la chaux, basse et voûtée comme un réfectoire de couvent.

C'est de là que je vous (écrire) , ma porte grande ouverte, au bon soleil.

Un joli bois de pins tout étincelant de lumière (dégringoler) devant moi jusqu'au bas de la côte. A l'horizon, les Alpilles (découper) leurs  crêtes fines... Pas de bruit... À peine, de loin en loin, un son de fifre, un courlis dans les lavandes, un grelot de mules sur la route... Tout ce beau paysage provençal ne (vivre) que par la lumière.

Et maintenant, comment (vouloir) que je le regrette , votre Paris bruyant et noir? Je (être) si bien dans mon moulin! C'est si bien le coin que je (chercher) , un petit coin parfumé et chaud, à mille lieues des journaux, des fiacres, du brouillard!... Et que de jolies choses autour de moi! Il y (avoir)  à peine huit jours que je (installer) , j' déjà la tête bourrée d'impressions et de souvenirs... Tenez! pas plus tard qu'hier soir, j' (assister) à la rentrée des troupeaux dans un mas (une ferme) qui (être) au bas de la côte, et je vous (jurer) je (ne pas donner) ce  spectacle pour toutes les premières que vous (avoir) à Paris cette semaine. Jugez plutôt. Il (falloir) vous dire qu'en Provence, c'est l'usage, quand (venir) les chaleurs, d'envoyer le bétail dans les Alpes. Bêtes et gens (passer) cinq ou six mois là-haut, logés à la belle étoile, dans l'herbe jusqu'au ventre; puis, au premier frisson de l'automne on (redescendre) au mas, et l'on (revenir) brouter bourgeoisement les petites collines grises que (parfumer) le romarin... Donc hier soir les troupeaux (rentrer) . Depuis le matin, le portail (attendre) , ouvert à deux battants; les bergeries (être) pleines de paille fraîche. D'heure en heure on (se dire) : « Maintenant ils (être) à Eyguières, maintenant au Paradou.» Puis tout à coup, vers le soir, un grand cri: «Les voilà!» et là-bas, au lointain, nous (voir) le troupeau s'avancer dans une gloire de poussière. Toute la route (sembler) marcher avec lui... Les vieux béliers (venir) d'abord, la corne en avant, l'air sauvage; derrière eux le gros des moutons, les mères un peu lasses, leurs nourrissons dans les pattes; - les mules à pompons rouges portant dans des paniers les agnelets d'un jour qu'elles (bercer) en marchant; puis les chiens tout suants, avec des langues jusqu'à terre, et deux grands coquins de bergers drapés dans des manteaux de cadis roux qui leur (tomber) sur les talons comme des chapes.

Tout cela (défile) devant nous joyeusement et (s'engouffrer) sous le portail, en piétinant avec un bruit d'averse... Il (falloir)   voir quel émoi dans la maison. Du haut de leur perchoir, les gros paons vert et or, à crête de tulle,   (reconnaître)   les arrivants et les (accueillir) par un formidable coup de trompette. Le poulailler, qui (s'endormir) , (se réveiller) en sursaut. Tout le monde (être) sur pied:  pigeons, canards, dindons, pintades. La basse-cour (être) comme folle; les poules (parler) de passer la nuit!... On (dire) que chaque mouton (rapporter) dans sa laine, avec un parfum d'Alpe sauvage, un peu de cet air vif des montagnes qui (griser) et qui (faire) danser. C'est au milieu de tout ce train que le troupeau (gagner) son gîte. Rien de charmant comme cette installation. Les vieux béliers (s'attendrir) en revoyant leur crèche. Les agneaux, les tout petits, ceux qui (naître)   dans le voyage et (ne jamais voir)   la ferme, (regarder) autour d'eux avec étonnement.

de: Alphonse Daudet, Lettres de mon moulin, Garnier-Flammarion, Paris, 1972, pp. 43 - 44
 
Besucherzaehler
Ferienparadies Azoren
Zurück zum Seiteninhalt | Zurück zum Hauptmenü